Dossier sur les recherches spatiales au CNRS
« Entre 2020 et 2022, seront lancées une vingtaine de missions spatiales représentant souvent de longues années de travail dans les laboratoires du CNRS. Une belle moisson de résultats devrait en découler : astrophysique et cosmologie bien sûr, mais aussi sciences du climat et de l’environnement, physique fondamentale ou sciences humaines et sociales ! En parallèle, d’autres sciences comme la robotique, l’ingénierie, la chimie, les mathématiques ou l’intelligence artificielle viennent élargir le champ des possibles. Un cercle vertueux, parce que pluridisciplinaire, qui explique la place incontournable du CNRS, avec le CNES et nos partenaires historiques, dans le développement des projets spatiaux. Dans ce secteur à haut potentiel, des créations de start-up assurent au CNRS une place de choix dans le New Space, compétition mondiale de construction de systèmes spatiaux toujours plus agiles, plus intelligents et moins coûteux. Les retombées de la science spatiale dans notre quotidien permettront par exemple le déploiement de technologies moins énergivores et donc plus respectueuses d’un développement que nous voulons durable. »
Antoine Petit, PDG du CNRS
À noter, la participation de plusieurs laboratoires toulousains1 : 2 L'Institut de recherche en astrophysique et planétologie de Toulouse (IRAP/OMP - CNRS, CNES, Université Toulouse III - Paul Sabatier), le Centre d'études spatiales de la biosphère (CESBIO/OMP - CNRS, CNES, IRD, Université Toulouse III - Paul Sabatier), l'Institut de mécanique des fluides de Toulouse (IMFT - CNRS, Toulouse INP, Université Toulouse III - Paul Sabatier)
- 1L'Institut de recherche en astrophysique et planétologie de Toulouse (IRAP/OMP - CNRS, CNES, Université Toulouse III - Paul Sabatier), le Centre d'études spatiales de la biosphère (CESBIO/OMP - CNRS, CNES, IRD, Université Toulouse III - Paul Sabatier), l'Institut de mécanique des fluides de Toulouse (IMFT - CNRS, Toulouse INP, Université Toulouse III - Paul Sabatier)
- 2L'Institut de recherche en astrophysique et planétologie de Toulouse (IRAP/OMP - CNRS, CNES, Université Toulouse III - Paul Sabatier), le Centre d'études spatiales de la biosphère (CESBIO/OMP - CNRS, CNES, IRD, Université Toulouse III - Paul Sabatier), l'Institut de mécanique des fluides de Toulouse (IMFT - CNRS, Toulouse INP, Université Toulouse III - Paul Sabatier)