Utiliser Tillandsia capillaris comme bio-indicateur de la qualité de l’air en Amérique latine ?

Résultats scientifiques Terre & Univers
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© Gaëlle Uzu, LTHE/OSUG

Des chercheurs d’une collaboration internationale, comprenant des chercheurs du laboratoire Géosciences environnement Toulouse (GET/OMP), du Laboratoire d’études des transferts en hydrologie et environnement (LTHE), de l’Institut des sciences de la Terre (ISTerre) et du Laboratoire de spectrochimie infrarouge et raman (LASIR) ont montré que la plante Tillandsias capillaris ne permet pas de suivre une forte pollution métallique sur une période supérieure à 4 mois. Les chercheurs préconisent donc l’usage de prélèvements sur filtres, malgré leur coût plus élevé.

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