Au Chili, habitants et plantes unis pour révéler une pollution de l’air

Communiqué de presse

Le Chili est l’un des pays les plus touchés par la pollution environnementale en Amérique du sud. C’est particulièrement le cas dans la province de Chacabuco, au nord de la capitale Santiago, où la population locale alerte sur la dégradation de la qualité de l’air. Dans cette région, une équipe du laboratoire Géosciences environnement Toulouse1 , en collaboration avec des chercheurs du laboratoire de Géographie de l’environnement2  a croisé la perception des habitants avec des analyses géochimiques réalisées sur le terrain pour évaluer la pollution atmosphérique. Leur étude, publiée le 4 mars dans Environmental Geochemistry and Health, recommande l’utilisation de certaines plantes comme indicateurs du niveau de pollution de l’air.

  • 1GET-OMP – CNES/CNRS/IRD/Université de Toulouse
  • 2GEODE – CNRS/Université Toulouse Jean Jaurès

Pour en savoir plus

An interdisciplinary approach for air quality assessment: biomonitoring using Tillandsia bergeri and risk perceptions in the environmentally sacrificed province of Chacabuco, Chile 
Eva Schreck, Lucie Le Goff, Aude Calas, Zoë Louise Fleming, Carme Bosch, Aubin Yettou, Mireia Mesas, Xavier Martínez-Lladó, Arturo Vallejos-Romero, Frédérique Blot, Carine Baritaud & Anne Peltier 
Environmental geochemistry and health, mars 2025

La publication à retrouver ici.

Le communiqué de presse de l'Université de Toulouse à retrouver ici.

Contact

Valentin Euvrard
Chargé de communication de l'université Toulouse III - Paul Sabatier
Mélina Le Corre
Chargée de communication et relations presse
CNES - Bureau de presse
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